Je doute que le sujet lancé ici passionne autant les pongistes que s’il s’agissait d’une réflexion sur le niveau régional, mais la réflexion portée ici est répétitive au fil des années. Je cherche donc à savoir si elle a un écho auprès d’autres pongistes ou si la situation ne dérange que peu de monde.
Ma réflexion porte sur l’attractivité de la D3 dans le district maritime au vu du calendrier et des compositions de poule. Très souvent, presque systématiquement, ces poules de D3 ne sont jamais complètes, et donnent lieu à de nombreux matchs « exempts ». Pour cette 2e phase, plusieurs équipes de D3 vont finir le championnat le 15 mars (!) après avoir disputé 5 rencontres. 5 matchs en 6 mois de compétition (si l’on arrête la saison en juin), quel sport fait mieux ?
Là où cette situation me préoccupe, c’est que la D3 est souvent l’occasion pour certains jeunes ou certains adultes habitués à une pratique loisir de réaliser leurs premiers pas en championnat adulte/en compétition. Le tennis de table souffre déjà d’un manque de notoriété auprès de ce public, et je doute que cette situation n’améliore les choses. Je souhaitais donc partager le problème de cette attractivité de la D3 avec une question sous-jacente : comment peut-on impliquer des jeunes sportifs dans une démarche d’entraînement jusque la fin de la saison lorsque les matchs cessent en mars ?