LES ENTRAINEURS CONNUS ET RECONNUS

Merci zebulon!

Houla, çà date tout çà!!! il y a pas loin de 15 ans???

redis moi qui tu es en MP STP...

zebulon a écrit:

moi je dis nigof !!!!!
eh oui il m'a bel et bien entrainé au pole espoir de bethune ...
mais c'était il y a bien longtemps.

Disons que j'avais du assurer l'intérim de Luc JOSPIN à l'armée et qui ne pouvait pas être présent pour la toute première année d'existence du pôle en..............????

tout a fait tu as vu juste ...
ca fait plus de 15 ans en effet
c'était la belle époque mais ca ne nous rajeunit pas tout ca ....

Pour les clubs ayant adhérés à la formule mise ne place par la jeunesse et sport de l'encadrement des collégiens en dehors du temps des cours (encadrement périscolaire entre 16 h 00 et 18 h 00) . Y a t il des conclusions, des commentaires sur le public les séances les difficultés rencontrées ?

parmis les bons entraineurs de la region : olivier legrand , alice joneau , eric groult , les entraineurs de bethunes , hervé bize , manassé batix , l'entraineur de la bourgogne tourcoing , l'entraineur de roubaix , et surtout youssef aguida qui fait un enorme boulot et qui fait remonté le club de l'asptt lille ! j'ai certainement oublié des entraineurs mais j'ai un ptit cervau donc jpeut pas me rapelé de tout lol

bart a écrit:

parmis les bons entraineurs de la region : olivier legrand , alice joneau , eric groult , les entraineurs de bethunes , hervé bize , manassé batix , l'entraineur de la bourgogne tourcoing , l'entraineur de roubaix , et surtout youssef aguida qui fait un enorme boulot et qui fait remonté le club de l'asptt lille ! j'ai certainement oublié des entraineurs mais j'ai un ptit cervau donc jpeut pas me rapelé de tout lol

tellement petit que tu ne sais pas l'écrire^^

Stéphane Hucliez devient entraineur de l'Equipe de France Seniors de Ping

Stéphane Hucliez : "c'est un honneur"

Le natif de Cambrai – sa gouaille de Ch'ti est incomparable – accède à la fonction suprême pour un entraîneur : l’équipe nationale masculine. Stéphane Hucliez prend les commandes des seniors à la sortie des Jeux olympiques après Jean-Claude Decret, le capitaine pendant 4 saisons. Michel Gadal : « La mission de Jean-Claude Decret s’arrêtait après les Jeux Olympiques. Notre objectif est clair depuis longtemps, nous savons qu'il faut une dizaine d'année pour construire une équipe. L'équipe de France masculine qui sera en Russie est aux trois quarts celle qui fut sacrée championne d'Europe juniors en 2005 à Praque. Stéphane Hucliez va continuer à suivre cette équipe, c'est une progression logique. A chaque fois qu'il a coaché, il l'a fait avec succès. Il a aussi coaché Patrick Chila lors du tournoi de qualification à Nantes. Comme les joueurs, les coaches suivent une progression. Sa compétence et ses résultats justifient la nomination de Stéphane Hucliez. » Jean-Claude Decret poursuit bien évidemment son métier d’entraîneur à l’Insep et il sera détaché une semaine par mois au pôle de Nantes pour apporter son expérience internationale aux jeunes pousses.

Triple champion d'Europe
Double champion d’Europe avec les sélections juniors garçons (2005 et 2008), médaillé de bronze aux championnats du Monde juniors en décembre 2007, Stéphane Hucliez est un entraîneur qui s’est bâti un sacré palmarès par équipes si on ajoute le titre de champion d’Europe cadets en 1997. Cet homme de 44 ans (depuis le 4 juin) est un battant dont la motivation se fait déjà entendre : « C’est forcément un honneur de devenir le coach de l’équipe de France. Je ne serai pas tout seul dans ce challenge. Depuis mon arrivée à l’Insep en 2003, Michel Blondel m’a beaucoup apporté d’expérience. Il y a aussi Jacques Mommessin au quotidien. J’étais un peu fougueux mais avec le temps je suis plus mesuré. Michel Gadal m‘accorde sa confiance et je suis motivé pour continuer l’aventure. Dans un 1er temps, l'objectif sera de gagner une médaille aux championnats d’Europe, d’ici à deux ans, puis d’avoir des qualifiés aux Jeux de Londres. »

Une carrière dans le quart nord-est
Il donne ses premiers coups de raquette à Saint Hilaire Lez Cambray avant de mettre le cap sur l'ASL Proville. Lorsqu'il commence à percer, il défend les couleurs de l'ASPTT Lille avant de muter à Chalon sur Marne avec Christian Martin (coach de l'équipe de France masculine de 1993 à 1997), Damien Eloi en Andrei Jakubovics. Il connaît des sélections en équipe de France et obtient en 1992 le titre de champion de France du double mixte avec Patricia Aubry (devenue Patricia Baubet, maman de Vincent) face au couple Chila. "J'ai débuté comme entraîneur professionnel à Chalon avant de revenir à Proville en 1989. Le Maire se souvenait de moi et m'a fait confiance." Titulaire du BE2, il fera grimper le club en Nationale 1 où il obtiendra aussi des bons résultats avec les jeunes, en particulier Sabrina Fernandes. En 1995, le DTN d'alors, Camille Noblet, le nomme responsable du pôle de Wattignies et il prend en charge l'équipe de France cadettes. En 1997, la génération Bahuaud-Perreti-Ollivier devient championne d'Europe.

"Gatien et Waldner"
Ses modèles sont les plus grands joueurs européens. "Comme joueur, c'est Jean-Philippe Gatien qui m'a marqué. Il a montré à toute la France puis au monde que son sérieux, la qualité de ses entraînements et sa persévérance lui avaient permis d'atteindre son but : champion du Monde. C'est un modèle. En tant qu'entraîneur j'apprécie aussi le Suédois Jan Ove Waldner tant par ses qualités techniques que par son comportement à la table : ses prises de risques dans les moments clefs. A l’heure actuelle les Chinois sont des grand professionnels. Mes stages en Chine m’ont amené également beaucoup dans ma façon d’appréhender le haut niveau chez les seniors."

Le 4 octobre à Saint-Petersbourg, il étrennera sa nouvelle fonction : "je vais vivre en tant qu'entraîneur ce que je n'ai pas vécu comme joueur, explique cet ancien n°7 français. La tâche est difficile mais je suis super satisfait car j'aime les challenges. A Saint-Petersbourg, mon discours vers Christophe Legoût et les jeunes sera la persévérance et l'envie de poursuivre l'aventure. "

Caro a écrit:

Stéphane Hucliez devient entraineur de l'Equipe de France Seniors de Ping

Respect...

On est fier de notre représentant ch'ti!

Bravo à lui......... même si le passage des jeunes (médaillés européens) à la scène internationale ADULTE est une autre paire de manches!!!

Je l'ai eu comme entraîneur en stage au CREPS, il nous en faisait boufer.....

je mets cette annonce la car je ne sais pas ou la mettre

Mr HUCLIER STEPHANE a été nommé entraineur de l equipe de france senoir
felicitation a lui car il le merite
il a fait du bon boulot avec les juniors
c est une tres belle recompenses

c est chtuc qui va etre content

Remontes quelques posts plus haut et tu verras que tu ne t'es pas trompé de sujet... mais l'info a déjà été mise!!

Ceci étant, vue l'importance de cette nouvelle, ça ne coute rien de le redire...Bravo Steph!!!

désolé j avais pas vu trop cool pour lui

Article Voix des sports de ce lundi 27/10
page 65 dernier article
des commentaires ?
pour ma part j'ai travaillé avec Stéphane au Creps, je suis un peu décu, c'est dur de voir ecrit cela (bonne continuation à lui sur l'insep)

quelqu'un peut il mettre l'article dispo ?

La Voix des Sports - 27/10/2008

Stéphane Hucliez : « J’ai une âme de coach »
Tennis de table
C’est l’histoire d’un p’tit gars de chez nous qui a accédé au sommet. C’est l’histoire de Stéphane Hucliez, un fondu de tennis de table qui, à force de travail et d’ambition, a gravi tous les échelons pour se retrouver à la tête de l’équipe de France.
Promu chez les « grands » en même temps que la génération dorée des Mattenet, Lebesson et Salifou, qu’il a guidée sur le toit de l’Europe chez les juniors, le sympa et jovial Cambrésien rêve désormais des Jeux de Londres et de battre les Chinois.
De retour des championnats d’Europe à Saint-Petersbourg, où il a étrenné ses nouveaux galons, Stéphane Hucliez nous a reçus chez lui, dans le Cambrésis.
Pour parler de son ascension, de son nouveau métier et de sa passion pour le « ping ».
– Pour votre baptême du feu, l’équipe de France est revenue dans le Top 10 européen. Satisfait ?
« On est arrivés avec une nouvelle équipe, sans savoir où on mettait les pieds, on est tombés dans une grosse poule, et on n’est pas loin de se qualifier pour les quarts de finale. Cette 10^e place est très satisfaisante. Les jeunes nous ont fait plaisir, ils ont réussi des perfs (Lebesson a battu Ovtcharov, 14^e mondial, et obtenu deux balles de match sur Timo Boll, le champion d’Europe ; Mattenet a fait trembler Samsonov, le vice-champion d’Europe), et n’ont pas lâché un point. On est en train de construire quelque chose, c’est vraiment prometteur.
» – On parle beaucoup de cette nouvelle génération, double championne d’Europe juniors. Jusqu’où peut-elle aller ?
« L’objectif, c’est d’être sur le podium des championnats d’Europe en 2010 et d’avoir des qualifiés pour les Jeux de Londres. C’était leur première grande compétition internationale et ça va leur servir dans leur carrière. Cette génération avance vite, elle se prend en mains, est à fond dans son projet. Il ne faut pas la perdre, d’autant que les anciens se retirent. Mais le plus dur, c’est de confirmer et d’être régulier. » – A titre personnel, que représente ce poste d’entraîneur de l’équipe de France ?
« Je ne vais pas mentir, depuis que je suis dans le haut niveau, mon but était d’arriver là. Et quand je me retourne, je suis fier de mon parcours.
C’est vrai qu’au départ, j’ai été aidé par les circonstances : en 1997, quand je vais voir le DTN pour trouver des sorties internationales, il cherche un cadre pour accompagner les cadets aux championnats d’Europe. A l’arrivée, on est champions d’Europe ! A partir de là, j’ai multiplié les voyages à l’étranger pour me former et progresser. Oui, ce poste est l’aboutissement que je souhaitais. Je voulais vivre en tant qu’entraîneur les grands championnats que je n’avais pas eu la chance de vivre en tant que joueur. » – Y a-t-il une méthode Hucliez ?
« Je suis quelqu’un de positif. Je sais faire passer des messages forts, être enthousiaste quand il le faut, bousculer le joueur quand il le faut.
L’important, c’est le feeling. J’ai une âme de coach, j’aime être responsable des compositions d’équipe, prendre des risques. Je suis plus coach qu’entraîneur, je suis plus passionné par le match que l’entraînement. Je pense aussi avoir un bon oeil, mon vécu de joueur m’aide bien. Mais je ne suis pas seul. Je consulte beaucoup Michel Blondel et Jacques Mommessin. On travaille en équipe. » – La pression existe-t-elle aussi sur l’entraîneur de l’équipe de France de tennis de table ?
« On la ressent forcément. Même si c’est tout nouveau, tout beau, si tout le monde est encore euphorique par rapport à ma nomination, je ne me fais pas d’illusions, il va falloir concrétiser. Je sais que les gens ne sont pas patients. A moi de faire attention à bien gérer le truc et à protéger les joueurs. L’important est de parler vrai. Je suis comme Vahid (Halilhodzic) : les critiques ne me font pas peur, je m’en sers pour avancer. » – En vingt ans, qu’est-ce qui a le plus changé dans le tennis de table ?
« La règle d’abord, avec le passage des sets en onze points. Cela a complètement changé le rythme d’un match. Les retournements de situation sont plus nombreux et c’est mieux pour le spectacle. L’autre très gros changement est, depuis la fin des Jeux de Pékin, l’interdiction de la colle rapide, qui avait pour effet d’accélérer la vitesse de la balle. Certains joueurs ont fait leur carrière grâce à ça.
Il fallait voir les gars avant chaque match, décoller et recoller leur revêtement avec de la colle fraîche. On a finalement découvert que cette colle provoquait des cancers et la Fédération internationale est revenue à la colle à l’eau.
Aujourd’hui, la balle va moins vite, il y a plus d’échanges, bref, ça va dans le sens du jeu. Ça va faire drôle à certains, mais ces réformes ont un grand mérite : elles vont redonner une vraie importance à la notion physique. » – Que manque-t-il au tennis de table français pour rivaliser avec les meilleures nations ?
« Une très bonne locomotive, qui entraînera les autres derrière elle. On voit ce que ça donne en Allemagne avec Timo Boll : ils sont champions d’Europe par équipe. En France, de la détection aux juniors, on sait faire. C’est après qu’on a du mal à assurer la continuité. » – Et avec les Chinois ?
« Notre motivation, c’est de les battre un jour. Aucune équipe de France n’y est jamais parvenue. On est pourtant passés tout près l’an dernier, en demi-finale des championnats du monde juniors… Les Chinois sont les meilleurs, parce qu’ils se remettent en cause en permanence. Un jour sur un Pro Tour en Suède, j’étais arrivé dans la salle et il y avait le champion du monde, Ma Lin, à l’entraînement. Pendant une demi-heure, il n’a fait que du jeu court.
Il savait pourtant tout faire, mais il écoutait religieusement les conseils de son entraîneur. Je ne comprenais pas tout ce qu’il lui disait, mais je me suis assis, j’ai observé et j’ai appris.
La grande force des Chinois, c’est leur technique. Avant, on n’était pas bons, mais on a bien progressé dans ce domaine. » – Et médiatiquement, comment le « ping » peut-il exister ?
« Avoir une locomotive aussi au niveau de l’exposition. On l’a vu avec Gatien. Après, il faut aussi se battre pour vendre ton sport. Et on a encore beaucoup à faire dans ce domaine, même si on s’est amélioré. » – Pour finir, quel regard portez-vous sur la santé du « ping » nordiste ?
« On n’a même plus de médaille aux interligues jeunes ! Quand j’étais CTR, j’avais mis des actions en oeuvre qui avaient eu des effets. Mais dès que je suis parti, on a tout arrêté ! Je me rends compte aujourd’hui qu’on essaie de les relancer, c’est qu’elles ne devaient pas être si mauvaises.
Mais que de temps perdu ! Il y a trop de jalousie entre clubs, de combats d’arrière-garde… Dans la région, aujourd’hui, on a beaucoup de formations d’entraîneurs, de brevets d’État, mais ils ne se remettent jamais en cause. On n’en voit aucun sur les compétitions internationales, alors que c’est là qu’on apprend le plus. Je me souviens être allé aux championnats d’Europe aux Pays-Bas, je dormais dans ma bagnole, mais qu’est-ce que c’était enrichissant !
C’est dur à dire, mais les entraîneurs nordistes ne sont pas motivés. S’ils avaient un Gauzy (1) dans les mains, je ne suis même pas sûr qu’ils sauraient tout mettre en oeuvre pour le faire exploser. »

oui fin de l'article dur a avaler pour les be de la région en activité a l'heure actuelle
mais bon le constat est la 4 eme région de france au niveau licencié (quasi exaequo avec le 3eme) et niveau jeune ....... on est a la traine!
seul bourdon ces derniere années a eu véritablement le niveau national (top 8) pourquoi ?
qui est entré dans les 150 ces 5 dernieres années?

Alille a écrit:

Article Voix des sports de ce lundi 27/10
page 65 dernier article
des commentaires ?
pour ma part j'ai travaillé avec Stéphane au Creps, je suis un peu décu, c'est dur de voir ecrit cela (bonne continuation à lui sur l'insep)

Il est difficile de répondre à quelqu'un suite à un article dans un journal car ce n'est pas forcément ce qu'il a voulu dire.
Et ce serait trop facile de l'attaquer là dessus.

Pour ma part, je n'ai pas besoin que l'on me juge sur ma motivation, je suis assez grand ( hi ! hi ! ) pour le savoir et le montrer à mes jeunes.
Je pense qu' un entraîneur national a autant de mérite ( pas plus ) qu'un entraîneur bénévole d'un petit club qui donne beaucoup de son temps libre pour son club et par là même pour le tennis de table.

Si Stéphane a réalisé son objectif d'être au poste d'entraîneur de l'équipe de France, il a raison d'en être fier et d'avoir dormi d'en sa voiture aux Pays-Bas pour apprendre.

Pour ceux qui réalisent leur objectif de " faire fonctionner " un club, de faire prendre du plaisir à des jeunes , la fierté est la même, et pour ma part je suis fier de ce que je fais en bénévolat depuis presque 20 ans tout comme si j'étais devenu entraîneur de l'équipe de France.

Ce ne sont que des choix de vie et parler de manque de motivation ( si c'est ce qu'il a voulu exprimer ), c'est une erreur
de le dire car ce ne peut être une généralité.

En tout cas, bon courage à lui car ce qui est sûr dans son métier c'est que le jour où les résultats ne seront pas là, on lui reprochera son manque de motivation. ( Et ce jour-là, ce sera aussi certainement une erreur )

Effectivement je pense qu'il faut se méfier de la tournure de l'article. Les journalistes sportifs toujours prompts à relancer les polémiques on en connait des tonnes. Et puis si ça peut booster tout le monde pour sortir prochainement un phénomène dans notre région faut pas se priver...

ce que stephane a voulu dire avant tout c'est que sans sacrifices point de haut niveau et que la ligue et nos entraineurs sont plus tourner vers le ping plaisir et le developpement de nos clubs.Mais on serait tous content si on avait un joueur emblematique formé ou decouvert dans notre ligue enfin je crois. :desole:

d'ailleurs on est fier que ce soit un nordiste coach de l'equipe de france alors on peut aimer ou pas mais il faut le soutenir :dance:

Le problème des sorties internationales et nationales est vrai dans tout les sports.

Je suis un peu le parcour du jeune Lauric (Belge) il n'a pas peur de bouger et toute sa famille et ses entraineurs le soutiennent et le suive.

J'ai eu l'occasion de lire le livre de Jacques Secretin, que je conseil, lui aussi a fait des deplacements internationaux trés jeunes.

Je pense qu'il faut prendre cette remarque comme une critique et tirer l'objectivité de Stéphane.

Même si la vérité est dure à entendre, mais il fait parti des "sages" de notre sport.

Et même si maintenant plus que jamais, il s'agit aussi d'une question de moyen et de financement, plus que de motivation.

Bon courage Stéphane et je suis sur qu'il fera beaucoup pour notre sport qui devient trops veillissant et dépend trops des générations passés.

Stéphane représente l'avenir de notre sport et notre région, il faut le soutenir plus que jamais, même si je n'ai pas la chance de le connaitre personellement.

Preuve en est !! On pose des questions sur l entrainement dans le forum fiches technique et personne comme BE pour repondre .........

eacheng france a écrit:

Je suis un peu le parcour du jeune Lauric (Belge) il n'a pas peur de bouger et toute sa famille et ses entraineurs le soutiennent et le suive.

ouais sauf que pour lauric son pere est un vrai malade de ping et qu'il l'a tjrs poussé au cul et que lauric a du courage de supporter et de tjrs avoir envie de jouer et crois moi c'est pas tout rose son parcours surtout en ce moment et qu'il est pas ci soutenu que ca sauf par sa famille